Chemindes Dames : la bataille qui déclencha les mutineries de 1917. Le Chemin des Dames, dans le département de l'Aisne, traverse dix-huit villages dont sept ont été totalement ou partiellement détruits durant les combats meurtriers de la Première Guerre mondiale. Bonjourà tous, En fait de simplicité enfantine, mes recherches sont demeurées vaines, du moins pour l'instant. Je ne reconnais pas du tout la configuration générale des lieux : il semble que nous soyons ici dans une région de plaine, alors que les paysages dominants de la région du Chemin des Dames sont plutôt accidentés - d'où les combats acharnés qui s'y sont Craonnese trouve à l'extrémité est du Chemin des Dames. Le village que vous traverserez aujourd'hui est un village de moins de 100 habitants construit entre 1921 et 1927 avec des fonds en parti suédois, à quelque 500 mètres du village initial entièrement détruit au cours des combats. Avant l'arrivée dans le village actuel par le nord (D18), un panneau indique Vieux Craonne. A l Introduction Le Chemin des Dames doit son nom aux élégantes filles de Louis XV qui le parcouraient autrefois. Elles ne pouvaient imaginer qu'en 1917 il serait le lieu d'une incroyable et inutile boucherie due à l'incompétence du général Nivelle. Cette petite route suit la crête calcaire qui sépare la vallée de l'Aisne de celle de l LeChemin des Dames Une route empierrée qui flânait au pied des falaises calcaires de la vallée de l’Aisne et qu’empruntait autrefois le carrosse des deux filles de Louis XV et de leurs dames d’atours, lorsqu’elles allaient visiter leur bonne amie, Françoise de Châlus en son château de Bove. Ainsi passaient les belles dames de la Cour qui ont baptisé sans le Translationsin context of "chemin des dames" in French-English from Reverso Context: Vous trouverez les traces de cette histoire contemporaine sur le Chemin des Dames. Translation Spell check Synonyms Conjugation. More. Conjugation Documents Grammar Dictionary Expressio. Reverso for Windows. Log in . Register Log in Connect with Facebook Connect with Google Laguerre des Clans Bienvenue, cher invité, enfin pour l'instant x) conversations sur la CB, et soutient entre les membres tu seras toujours le ou la bienvenue =) Alors à tout de suite ? Rorose, et tous les admins ~°*°La guerre des clans°*°~ La guerre des Clans Bienvenue, cher invité, enfin pour l'instant x) Quoi ?! Tu ne veux pas t'inscrire :O, mais si viens rejoindre la Seconnecter Contribuer ! X Vide grenier, réservation au 06 50 30 87 84 ou 06 95 58 02 97. boissons et restauration sur place. Expo Club Voitures anciennes et de prestiges "Maremm". Baptémes de moto avec le Club Neuvicois Family Riders 12h : Grillades 14h : Jeux en bois et maquillages gratuits salle des gîtes. 19h : Soirée organisée par le restaurant la Douzième AOulches-la-Vallée-Foulon, le Centre d’accueil du visiteur du Chemin des Dames propose un accueil touristique pour l’ensemble des sites du Chemin des Dames dont le complexe souterrain de la Caverne du Dragon, site emblématique des combats de la Grande Guerre qui se trouve 14 mètres sous terre.. Table numérique XXL, frise chronologique géante interactive, Cettemagnifique petite route, la D 18 CD, serpente sur plus de 25 km entre Corbeny et le lieu-dit Vauxrains, à hauteur d’Aizy-Jouy. Le Chemin des Dames se faufile ainsi le long des crêtes au rythme de lieux émouvants, MeA2y. 14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 1730 . Culminant à une altitude de 190 mètres au dessus du niveau de la mer, le Chemin des Dames ici est un plateau calcaire orienté d’Est en Ouest, et situé entre les vallées de l'Aisne Sud et de l'Ailette Nord. Ce promontoire escarpé permet une observation Nord-Est, entre Reims et Laon, mais aussi, vers le Sud, en direction de Soissons. Les Allemands occupent la position depuis leur offensive de août-septembre 1914. Là haut, sur la montagne, ils ont eu soin de transformer ce gigantesque observatoire naturel en une forteresse imprenable, aménageant, à l’abri de l’artillerie, les carrières de craie souterraines, à l’endroit même où se trouve actuellement le musée, la Caverne du dragon. Mais aussi, en creusant des souterrains d’accès qui leur permettent de relier les positions arrières aux premières lignes, le tout étant truffé de redoutes et de meurtrières garnies de nids de mitrailleuses crachant le feu. Depuis l’automne 14, et, plus précisément la fin 1915, l’endroit n’a guère fait l'objet, de grosses offensives. Les Allemands tiennent la ligne de crête et, face à eux, les Français sont établis sur les pentes qui forment un dénivelé de 100 mètres. En avril 1917, décision est prise, côté Alliés, d'effectuer une percée de grande ampleur. L’offensive du 16 avril 1917 débute à 6 heures du matin. Elle doit, en principe, être la dernière de la guerre, après toutes les hécatombes enregistrées les années antérieures 1914 morts ; Artois - Champagne en 1915 et Verdun autres. En décembre 16, le général Nivelle succède à Joffre, alors que ce dernier promettait une victoire rapide et certaine pour le début de l’année 1917. La percée du front allemand doit avoir lieu entre Soissons et Reims, là, où Napoléon a déjà combattu, cent ans plus tôt, les Prussiens, en 1814,… sur la crête du Chemin des Dames. Les grandes lignes de l'offensive sont alors dessinées. Les dés sont jetés, l’attaque se fera de manière coordonnée avec les Anglais. Ces derniers porteront leurs efforts sur un front compris entre Vimy et Soissons, alors que les Français attaqueront sur une ligne comprise entre Soissons et Reims. Cette tactique permettra de porter leur riposte contre l’ennemi dans deux directions distinctes, "à angle droit", alors que peu de temps auparavant les Britanniques, les Canadiens, les Australiens, les Néo-zélandais et les Terre-neuviens auront déjà fait diversion en portant leurs coups aux Allemands à hauteur de Saint-Quentin et Arras, à l’Ouest, et au Sud et à l’aplomb de Vimy… Pour prévenir une telle offensive, dont l'ampleur ne permet pas de garder le secret absolu quand on sait le nombre de soldats faits prisonniers, les Allemands se replient du 15 au 19 mars 1917 sur la ligne Hindenburg. Leur front est ainsi réduit de septante kilomètres. La manoeuvre permet par ce simple fait d'aligner moins de divisions face aux Alliés. L'angle droit que forme la ligne de front en cet endroit est balayé. La ligne d’attaque, côté franco-anglais, s'étend désormais dans la direction Nord-Ouest à Sud-Est, de Vimy à Reims, en passant par le Chemin des Dames. Les Alliés mettront une semaine pour mesurer l'ampleur de ce retrait tactique et stratégique opéré par les Germains. Les plans initiaux de l'offensive sont désormais caducs. Le GQG de Nivelle adapte ses projets à la nouvelle topographie du champ de bataille. L'effort anglais portera sur Vimy et celui des Français se concentrera sur le Chemin des Dames… Le sort de la bataille se jouerait-il en cet instant de l’Histoire ? Cinq mille canons, - un, tous les 13 mètres -, des chars. Mais encore… Une fois sortis des tranchées, les combattants devront progresser en quatre bonds, à raison de 100 mètres toutes les 3 minutes, et ce, malgré la trentaine de kilos d’équipement emportés sur le dos, et, par delà une zone labourée par huit jours de bombardements intensifs. Le 16 avril, malgré des préparatifs soignés, c’est pourtant l’échec, excepté dans le secteur de Vailly. Les assauts ne parviennent pas à dépasser la première ligne allemande, alors que des positions teutonnes sont pratiquement intactes. L’effet de surprise n’a pas joué ! Les conditions météorologiques défavorables ont gêné les observations indispensables aux réglages des artilleurs. Au matin du 16 avril, elles sont calamiteuses, alors que pluie glacée et bourrasques de neige s’abattent sur des combattants venus parfois d’Afrique noire, et victimes d’engelures ou tout simplement paralysés par le froid. Les premières heures de l’offensive sont particulièrement meurtrières. Certaines unités perdent le tiers, voire, la moitié de leurs effectifs. A l’échec militaire s’ajoutera un désastre sanitaire, alors que les colonnes de blessés et d’éclopés s’enliseront parfois dans la boue et ainsi n’atteindront jamais les postes de secours. Face au désastre certains blessées seront transportés au fin fond de la France, afin d’éviter que Paris n’ait à devoir prendre conscience de cette catastrophe humaine qui s’est déroulée aux portes de la capitale… Le 15 mai, Philippe Pétain sera appelé à remplacer Nivelle. La déception est grande et à la mesure de ce qu’avaient été les espérances. Avant le printemps 1917 le front avait connu des désertions et des refus d’obéissance, même à Verdun. Après le Chemin des Dames, les "actes d’indiscipline", comme les rapportent les officiers, se multiplient dans des unités qui doivent repartir pour les tranchées. A Villers-sur-Fère, à Missy aux Bois, et dans d’autres villages où les troupes ont été envoyées au repos, les soldats, par compagnies entières, refusent de remonter au front… On fait bientôt état de mutineries, alors que le plus souvent, les "mutins" refusent, non pas de se battre, mais la perspective de boucheries inutiles. Quarante divisions, soit près de hommes sont concernées. Le haut commandement cherche à enrayer le mouvement, l’épidémie. Les conseils de guerre prononcent condamnations, dont 600 à mort, la plupart sont commuées en peines de travaux forcés à effectuer dans les colonies… C’est le moment choisi pour qu’enfin le commandement lâche du lest face aux grévistes en arme. Ainsi sont décrétés l’augmentation du nombre des permissions ; l’amélioration de la vie quotidienne des soldats… Fin juin, l’ordre est rétabli, alors que la réputation de Pétain se forge, à cet instant là, dans le cœur de ses hommes. Tout espoir de grande offensive est suspendu. Philippe Pétain, contre les aspirations de Georges Clemenceau, mène des opérations limitées, dans l’attente de blindés et de l’arrivée des Américains. Les combats se poursuivent toutefois sur le Chemin des Dames jusqu’à l’automne, alors que la "bataille des observatoires", une succession d’attaques et de contre-attaques, qui ne se font pas sans pertes, se déroule, pour s’assurer le contrôle des points hauts du plateau, comme le monument d’Hurtebise ou l’Epine de Chevregny. C’est au cours de ces opérations que, le 25 juin, sera prise par les Français la désormais célèbre Caverne du Dragon. Le point culminant de la bataille interviendra lors de l’attaque lancée le 24 octobre dans le secteur de Laffaux-Chavignon, mais également à l’occasion de la reprise du fort de La Malmaison, au moment même où les Allemands décident de définitivement abandonner le plateau du Chemin des Dames. Ainsi, ils se replient sur les hauteurs dominant l’Ailette d’où ils lanceront, au printemps 1918, une fulgurante offensive, en direction du Sud, à près de soixante kilomètres de Paris, via Braine, Fère-en-Tardenois, Château-Thierry. Là, où ils seront stoppés, entre autre, grâce à l’héroïsme et à la ténacité des Américains… Carte ici La chanson de Craonne ici et ici Monument aux morts ; soldats ayant combattu dans les unités motorisées chars ici . Published by lpzpictures - dans Histoire AccueilCultureMusique En partenariat avec Qobuz, plateforme musicale haute qualité Publié le 16/04/2017 à 0800 VIDÉO - En 1917, à la suite de la terrible défaite des alliées lors de la bataille du Chemin des dames, hommes se sont engagés dans une mutinerie entonnant leur hymne, longtemps censuré, à la fois polémique et engagé. C'est à Craonne, sur le plateau, qu'on doit laisser sa peau, car nous sommes tous condamnés, c'est nous les sacrifiés» chantaient en chœur quelque mutins à la suite de la terrible défaite des alliés lors de la bataille du chemin des dames. Pour la première fois dans l'histoire de la France La chanson de Craonne sera entonnée lors d'une cérémonie militaire. Un événement de taille et symbolique qui fête le centenaire de cet restes d'un soldat anglais sur le Chemin des Dames Rue des Archives/Rue des Archives/BCAL'origine de la chanson est assez floue, elle aurait été écrite entre septembre 1914 et septembre 1915. Elle apparaît sous le nom de La Chanson de Lorette, avec comme sous-titre complainte de la passivité triste des combattants». Mais elle fut interdite et censurée par le commandement militaire à cause de ses paroles contre les combats Huit jours de tranchée, huit jours de souffrance», de son appel à la mutinerie On va se mettre en grève» et de son engagement d'extrême gauche et ses phrases anti-patronat Ce s'ra votre tour, Messieurs les gros, De monter sur le plateau».Ces caractéristiques en font une chanson à tendance polémique. Le 1er juillet 2016, le secrétaire d'État français des Anciens Combattants Jean-Marc Todeschini a refusé que soit entonné le chant des soldats lors de la cérémonie d'anniversaire commémorant les cent ans de la bataille de la Somme. Le député du PCF Jean-Jacques Candelier a quant à lui dénoncé un nouvel affront qui sonne comme une insulte de plus pour les descendants des victimes».Tragiquement populaireLa chanson n'a cessé d'évoluer au fil du temps en fonction des affrontements. Mais elle prit de l'ampleur en 1917 lors de la défaite du chemin des Dames. Les erreurs cumulées par le général Nivelle en plus de la malchance intempéries et fuites des infos firent perdre hommes aux Alliés, blessés ou morts, pour une avancée ville de Craonne en 1917 à la suite d'affrontements. Rue des Archives/©Rue des Archives/RDACet événement tragique, bénéficia à Pétain qui devenu célèbre pour être l'homme redonnant le moral aux troupes françaises d'une main de fer. Il fit exécuter 57 hommes pour l'exemple et en condamna 554 à mort. Mais rappelons aussi que Craonne fut totalement détruite au cours de la Grande maréchal après cette terrible défaite décida de changer les tactiques de l'armée française, se concentrant sur la défense, délaissant les assauts au profit d'une autre conception tactique L'artillerie conquiert, l'infanterie occupe». Ce choix permis aux Alliés d'attendre l'arrivée des musique de la Chanson de Craonne est basée sur l'air de la chanson Bonsoir M'amour et est souvent jouée sur un air de valse musette. Mais c'est une chorale qui l'interprétera lors de la journée de commémoration. Elle rappellera peut-être la manière dont nos soldats la chantaient. De Wikitravel Aller à navigation, rechercher Le Chemin des Dames se situe dans le département de l'Aisne. Sommaire 1 Introduction 2 Arriver En voiture 3 Circuler 4 Voir 5 Faire 6 Dormir 7 Partir Introduction[modifier] Près de Braye-en-LaonnoisLe Chemin des Dames doit son nom aux élégantes filles de Louis XV qui le parcouraient autrefois. Elles ne pouvaient imaginer qu'en 1917 il serait le lieu d'une incroyable et inutile boucherie due à l'incompétence du général Nivelle. Cette petite route suit la crête calcaire qui sépare la vallée de l'Aisne de celle de l'Ailette entre Chavignon et Craonne, elle est jalonnée de monuments et de stèles qui perpétuent la mémoire des régiments de poilus qui ont été fauchés par les mitrailleuses allemandes en avril-mai 1917. Arriver[modifier] En voiture[modifier] de Soissons prendre la RN2 en direction de Laon, tourner à droite à 3km avant Chavignon. de Laon prendre la RN2 en direction de Soissons, tourner à gauche à 3km après Chavignon. de Reims prendre la RN44 en direction de Laon, un kimomètre après Berry-au-Bac tourner à gauche pour Pontavert puis Craonne Circuler[modifier] Le revêtement de la route est très bon et la visibilité relativement bonne. Attention en garant son véhicule sur le bas côté, préférer les stationnement aménagés. Rouler lentement à proximité des groupes de visiteurs. Voir[modifier] Nombreux points de vue aménagés et panneaux d'information permettant de resituer la bataille dans le paysage. Les photos exposées montrent l'incroyable bouleversement du terrain après les bombardements Le vieux Craonne Craonne se trouve entre les lignes allemandes et les lignes françaises le village est entièrement détruit par les bombardements. On peut encore voir les entrées des caves, les fondations de l'église. L'abbaye de Vauclair Superbe abbaye cistercienne au milieu de la forêt. L'édifice a lui aussi été victime des bombardements. Agréable endroit pour pique-niquer. Nombreuses balades à partir du site. Sculpture de Haïm Kern "Ils n'ont pas choisi leur sépulture". Cette oeuvre rend hommage aux combattants dont les corps restent enfouis dans la terre du plateau de Californie. Faire[modifier] Le musée du Chemin des Dames la Caverne du Dragon Espace muséographique installé dans une caverne qui a accueilli les combattants français et allemands. La visite guidée dure 1h30. Prévoir un lainage la température ambiante est de 12° hiver comme été. Superbe panorama sur la vallée de l'Aisne. A proximité 9 scupltures géantes en hommage aux Tirailleurs sénégalais, "La Constellation de la douleur" de Christian Lapie. Dormir[modifier] Partir[modifier]

ou se trouve le chemin des dames